Au travail

Nous revoilà 3 semaines plus tard pour la deuxième étape du projet.

Quels sont les nouveaux arbres que les enfants aimeraient planter ?

On commence donc par nommer tous les fruits qu’ils connaissent et d’autres qu’ils découvrent  et on essaie ensuite de les classer.

C’est choisi : ils désirent mettre cerisiers, pruniers, abricotiers, pêchers, nectariniers, kiwi, des autres variétés de pommiers et tous les petits fruits.

Aménager le verger, c’est bien mais faut-il encore avoir un plan, savoir s’y repérer et tracer  leur projet.

Mathis nous propose de faire un chemin tout autour.

Sophia de partager le terrain en 4 parties

Nous avons repéré les zones les plus ensoleillées et après avoir choisi son fruit on le place sur le plan.

Maintenant il est temps d’aller sur le terrain pour d’abord identifier chaque arbre déjà en place et y poser une étiquette avec nom et variété et tout ceci à l’aide du plan.

On se retrouve l’après-midi, armés de piquets, de maillets, de mètre  et nous partons tracer le verger.

Ils découvrent comment utiliser le mètre ruban, on fixe des repères grâce à des piquets :

Merci à Alex, expert dans le maniement du maillet.C’est compris ! Alors, en route, tous au boulot !

Le mètre ruban n’est pas assez long, Christelle nous apporte un décamètre mais il est géant.

On va pouvoir trouver et marquer le milieu.

On tend les ficelles entre les piquets. Voilà c’est délimité, il ne faut pas oublier de faire une entrée qui mènerait aussi vers une petite cabane.

Comment réussir à tracer un grand cercle ? Sofia nous propose un grand patron fait sur un carton, mais nous n’avons pas de compas géant !

On essaie de comprendre comment fonctionne le compas, ils ont trouvé : nous avons besoin d’un piquet, d’une ficelle et d’un outil pour marquer.

Surprise, grâce à l’aide financière de l’association Relais Nature,  Michèle est allée acheter tous les arbres fruitiers nains qui vont rester de petite taille pour une cueillette plus facile.

On peut donc les mettre tous en place en mesurant ensuite qu’ils ont bien l’espace suffisant pour se développer.

Et voilà le travail terminé !

Quelle belle journée de travail !